Comme une odeur de térébenthine..

Dans la poussière, tel sera mon quotidien pendant quelques jours. Le vernis de la table d'harmonie étant clairement craquelé, fissuré, jauni, c'était une évidence de le changer. C'est un gros travail d'enlever l'ancienne couche avant d'en appliquer une nouvelle, beaucoup d'heures y seront consacrées. Mais quelle joie de sentir à nouveau cette odeur si typique ! Le flipotage étant terminé (et il y en avait, des fentes dans la table..), c'est un bonheur de travailler sur cet épicéa à lui redonner une seconde jeunesse. Le vernis est comme du sucre qui se briserait sous la lame de mon ciseau à bois ajoutant un son magnifique à ce travail.

En parallèle, les têtes de marteaux commandées ont dû refaire un crochet par l'Allemagne, la mécanique attendra encore un peu..